Hello There !

C’est les vacances… Et je suis malade. À l’heure où vous lirez ces lignes, je serai sur la route pour m’offrir quelques jours dans le Nord chez un ami… ou pas. Je vais voir comment va évoluer ma santé. En attendant, la météo n’est pas de saison – ce qui explique mon état ! – et c’est avec plaisir qu’on se blottit sur son canapé avec un plaid et un bon café chaud plus quelques granola. Oui, je suis granolamane… et alors ? Il y a pire comme addiction. Et je précise que je ne mange que ceux au chocolat noir, la boite rouge pour les intimes. Ça fait un mix parfait. Rajoutez un bon livre, un bon film ou un bon jeu et on peut attendre patiemment que le soleil daigne à nouveau chasser les nuages de notre ciel. Ou alors c’est peut-être lui qui les a mis pour ne pas avoir à contempler le triste état du monde, allez savoir… Ce n’est pas grave, à la taverne le café résout tout, y compris les maladies ! J’ai installé ma perfusion de liquide chaud et noir afin de rédiger ce ragot quoiqu’il en coûte, and coffee is running through my veins now..

Rebirth

J’ai remarqué un truc depuis quelques temps sur mon propre fonctionnement – comme quoi on passe sa vie à essayer de se connaître –, les vacances sont souvent l’occasion pour moi de faire de l’écran. Quand je travaille, je regarde très peu la TV, sauf certains matchs de foot, mais dès que les vacances arrivent, c’est là que je pose mes livres et que j’en profite pour regarder des vieux films – et quelques nouveautés, mais bof – et jouer. Comme une renaissance, à chaque période, je rallume mes consoles et hop ! Je saute dans un univers virtuel. Pourquoi je fonctionne comme ça ? Parce qu’il m’est plus facile de me plonger dans un livre 5 minutes entre deux activités, ou après une longue journée de taf sachant qu’il faut que je ne me couche pas trop tard pour le lendemain, plutôt que de me poser devant une TV qui, dans le cas d’un film, va me demander un temps fixe d’attention plus ou moins long, ou dans celui d’un jeu, verra mon immersion et mon plaisir contraint par un horaire de coucher.

Ainsi, ayant moins de contraintes pendant les vacances, je joue. Et j’ai enfin pu mettre la main sur Final Fantasy VII Rebirth, seconde partie du Remake du célèbre jeu de Square Enix sorti en 1997. J’avais beaucoup aimé le premier volet, testé cet été, intitulé sobrement FF 7 Remake, et ce second opus me semble encore plus prometteur après déjà une dizaine d’heures passées dessus. À découvrir donc, mais uniquement pour ceux qui possèdent, comme moi, une PS5, puisque le jeu y est présenté en exclusivité.

Final Fantasy 7 rebirth de Square Enix

Civil War

Cette semaine de vacances a également été l’occasion d’aller au cinéma regarder la dernière recommandation de Stephen King, Civil War. Dur. C’est le premier mot qui me vient à l’esprit. Aucun repos, aucun souffle humoristique, le film est violent et sa notation – de 12 ans me parait un peu légère. Au travers du thème des reporters de guerre, nous suivons une guerre civile américaine entre les états dits de l’ouest – Californie, Texas et Floride – contre le gouvernement fédéral, autrement dit Washington. Comment ne pas voir Trump dans le rôle du Président ? La Cravate rouge du POTUS nous dit tout et le film sonne comme un avertissement à la veille d’une élection qui s’annonce indécise et clivante.

The Tarantino Connection

Cette semaine a été tarantinesque également. Il est – et restera –, depuis 1997 et ma rencontre avec Pulp Fiction mon réalisateur préféré. J’adore son univers, j’adore sa narration, j’adore ses dialogues. Commencé il y a quelques années, je me suis donné pour mission de faire découvrir à Pénélope, ma secrétaire adorée, tous ses films, y compris ceux où il est juste crédité scénariste ou acteur. Nous avons franchis deux marches de plus cette semaine avec tout d’abord Once Upon a Time in Hollywood que j’ai trouvé – et encore plus avec ce second visionnage – tout bonnement exceptionnel dans sa lettre d’amour au cinéma. Le jeu d’acteur est sublimé par les deux géants que sont Di Caprio et Brad Pitt. Puis nous avons fait une soirée Western comme je les aime avec Les 8 salopards – The Hateful Eight – où là encore la narration, posée, lente, la photographie extérieure magnifique, et ce casting incroyable en font un excellent film. Seul point d’attente qui n’avait pas rencontré mes espérances à l’époque de sa sortie en 2015 – en tant que grand mélomane consommateur du genre – c’est la musique d’Ennio Morricone qui, sans être nulle non plus, n’est pas si mémorable que les BO de Il était une fois dans l’Ouest, ou Le Bon, la Brute et le Truand.

Ne manquera plus que Jacky Brown que je n’ai pas vu depuis des années et nous en aurons fini avec sa filmographie en tant que réalisateur.

Howling at the Night : We are Werwolves.

Dernière petite news pour annoncer que le late pledge Werewolves d’Arkhane est clos et que le jeu est en production. L’Asylum a fourni un lien aux backers pour accéder à l’actual Play de Globtopus tourné spécialement pour l’occasion. Diffusion sur Youtube prochainement donc, à suivre… avec la livraison à venir. Pour quand ? Bonne question, vu que les Douanes retiennent apparemment certains de leurs containers au port pour trafic de JDR illégal. Nan… je déconne. Enfin, pas pour l’inspection des douanes. Sur ce, bon dimanche et je vous souhaite une …

Bonne fin de civilisation !

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