Les Ragots de la Taverne #15

Hello There !

Excusez-moi d’ouvrir la taverne si tard, mais je rentre de voyage. Si si, je reviens d’Egypte. Mais installez-vous, moi aussi j’ai besoin d’un bon café après tout ça.

Donc comme je vous disais je reviens d’Egypte, des pyramides pour être précis. Moi et mes compagnons sommes rentrés dans un tombeau ancien que j’avais moi-même découvert. Malheureusement tout ne s’est pas passé comme prévu, et la mort fut au bout du voyage. Ah oui, je ne vous ai pas précisé ! Ce voyage je l’ai fait assis sur mon fauteuil favori, une bonne tasse de café à la main, non pas avec un livre mais lors d’une session de jeu de rôle maitrisée de main de maitre par Xapur des blogs Lance 1D20 et Les Lectures de Xapur. Encore un grand merci à lui de m’avoir permis d’être pour une fois joueur et non MJ. Ce fut un très bon moment convivial autour d’un jeu vraiment plaisant, L’appel de Cthulhu sur un scénario directement écrit par Steve Harris et Bruce Dickinson.

Powerslave d’Iron Maiden – 1985

Évidemment je blague, mais je n’ai pas cessé de songer à cet album pendant la partie. Ça me fait penser qu’il me faudra continuer mes articles sur cette gamme puisque j’ai depuis acquis d’autres manuels, mais si cela vous intéresse vous pouvez déjà aller relire ma revue du Manuel de l’Investigateur.

Cela m’a très fortement donné envie de rejouer et/ou maitriser. Depuis le mois d’octobre, je m’étais mis en pause car cela me prenait trop de temps avec deux parties par semaine, et malheureusement ce dernier n’est pas extensible, pour autant je sens bien que cela me démange de rejouer, de préparer, d’explorer des univers. Contrairement au jeu vidéo, où vous êtes limités par le côté technique inhérent à tout logiciel, où vos actions ne peuvent être que celles prévues ou imaginées par les développeurs, contraints eux-mêmes par les limites technologiques justement, ici tout est possible, tout est plus ou moins réalisable, y compris descendre en shield-skate les escaliers d’un rempart tout en décochant des flèches, même si pour ça il vous faudra quand même une sacrée dextérité et une bonne dose de chance aux dés ! (Et beaucoup d’imagination aussi 😉 )

Alors je jette mon bouclier, je saute dessus et descend la rampe en tirant !

Quoiqu’il en soit puisque nous parlons de jeu vidéo, après quelques sessions de New World, j’ai trouvé le jeu intéressant, l’histoire assez captivante, mais le système de personnalisation ressemble plus à un bon RPG qu’un MMO. En parlant du côté MMO, le fait que tout le monde soit mélangé ne crée pas d’immersion ni une grande communication. Tu parles anglais c’est bien, tu ne le parles pas, bon courage pour trouver un groupe francophone… quand ceux-ci répondent à tes messages… ( moments vécus). J’ai donc reconnecté un autre jeu, mais j’y viendrai plus tard.

Côté lecture, j’ai commencé Le Silmarillion, mais un soir voulant lire au lit, j’ai pris ma liseuse sur laquelle malheureusement je n’avais pas ce dernier en numérique. Souhaitant à tout prix continuer à parcourir la magnifique Terre du Milieu de Tolkien, je me suis lancé sur Le Retour du Roi que j’avais coché dans ma liste de 2023, après la lecture des deux premières parties, dans la nouvelle traduction de Daniel Lauzon. Et… je l’ai fini ! Une série d’articles est en préparation à ce sujet. En effet, je n’ai pas sorti beaucoup de revues ces dernières semaines, parce que tout simplement je préfère prendre mon temps de bien rédiger mes articles surtout lorsqu’il s’agit d’un de mes auteurs favoris que je n’ai encore jamais chroniqué sur ce blog.

Quoiqu’il en soit cette lecture m’a fortement donné envie de relancer un des jeux sur lequel j’ai passé un nombre d’heures incalculable, peut-être le jeu que j’ai le plus joué : The Lord Of The Ring Online. Tout cela m’a donné une idée d’article un peu différent sur l’unboxing de ma version collector du jeu. Stay tune donc ! En attendant un petit cadeau, mon tout premier screen de LOTRO pris en mai 2007 lors de mon premier jour de jeu. Que de souvenir.. Si vous vous posez la question je suis l’elfe chasseur (Legolas sort de ce corps !!) et mon pseudo était donc Telcontarion. J’ai longtemps hésité à l’utiliser ici. Il a pendant longtemps été d’ailleurs mon identité sur le net. Si un jour vous me voyez modifier mon identité, vous saurez pourquoi, ce sera une nostalgite aigüe. À mes côtés, il s’agit d’un très bon ami, autant fan de l’univers que moi et parrain de mon ainée qui se prénomme Arwen. Je crois que ceci en dit beaucoup sur mon attachement à la Terre du Milieu.

Le pseudo de mon ami est un joli anagramme, saurez-vous le retrouver ?

Pour conclure ce ragot, nous parlerons de l’épisode 5 de The Mandalorian, un autre univers que j’aime beaucoup, qui a fonctionné à plein régime sur moi ! L’action 100% mandalorienne et les cliffhangers finaux nous laissent présager une fin de saison vraiment passionnante, j’aurais tendance à dire que ça laisse à penser qu’il y aura une saison 4 également.

En attendant je vous souhaite un bon dimanche rempli de joie et d’imaginaire. Pour ma part je vais retourner en Terre du Milieu, soit par les livres, soit par les jeux (vidéos ou rôliste !).

À très bientôt !

Namarië.

Toutes les images présentées dans cet article sont la propriété exclusive de leurs auteurs.

Les Ragots de la Taverne #8

Hello There !

Déjà en février, comme le temps passe vite. Il file et j’ai l’impression de n’avoir quasiment rien lu de l’année encore. Bon ce n’est pas tout à fait vrai, je suis dur avec moi-même comme souvent. Faisons donc le point de ce premier mois devant un bon café, histoire de reprendre des forces après un déménagement longue distance, hier, de la meneuse de chèvre la plus excentrique au nord de la Loire. Il faut bien s’entraider entre lecteurs, même si elle n’est pas team Coffee.

Coffee

Donc répertorions mes lectures du mois, j’ai terminé L’Affaire Charles Dexter Ward, l’intégrale 3 de Lovecraft des éditions Mnémos, j’ai englouti plus de 500 pages sur environ 900 du premier tome de Conan en poche version Patrice Louinet, j’ai relu une bonne partie de mon manuel de base de Vampire : la mascarade 5e édition et j’ai écouté plus de la moitié du Messie de Dune de Frank Herbert sur Audible, la suite de Dune qui me plait énormément. Je compte le terminer dans la semaine à venir, afin de démarrer en audio L’Eveil du Léviathan de la série de livre The Expanse de James S. A. Corey qui n’est autre que le nom de plume utilisé par Daniel Abraham et Ty Franck. Comme je l’ai dit j’ai bien envie que cette année oscille entre horreur/fantastique et Science Fiction. Ça fait très longtemps que je veux lire The Expanse, j’ai même déjà lu deux fois les premières pages. Je ne pense pas pour autant délaisser la Fantasy, mais elle se fera plus discrète et probablement que ce seront des lectures des nouvelles éditions révisés de Tolkien acquises en fin d’année dernière.

Dans d’autres registres j’ai écouté pas mal de podcasts et regardé des actuals plays. J’ai terminé le chapitre 1, soit 48 épisodes, des Chroniques de Chicago de Monsieur Alceste, fini de visionner également deux des ses émissions sur youtube, les fameux Messy Critical. Pour compléter mes lectures vampiriques, j’ai reçu le dernier ouvrage qui me manquait, le supplément de contexte sur le Sabbat, une faction qui n’est plus jouable dans cette version mais propose un antagoniste de haut niveau pour vos parties. Le blog proposera des revues sur la gamme très bientôt.

Mes lectures du mois : 1 terminée, 2 à plus de la moitié, sans compter le JDR.

Je me suis également penché sur Delta Green, un jeu de rôle publié par Arc Dream Publishing. Il s’agit d’une version contemporaine de l’appel de Cthulhu. Un mix entre X-Files et le classique de Chaosium. Le background du jeu m’a énomément plu. À la base développé comme un supplément pour l’Appel de Cthulhu de Chaosium (Descartes puis Sans Détour en France), les créateurs – rédacteurs de l’univers ont décidé de se lancer en solo et ont créé leur propre maison d’édition. Ils ont choisi le système Gumshoe pour piloter leur univers, un dérivé du Basic Role-Playing (BRP) utilisé dans L’Appel de Cthulhu mais plus simple à mon sens, privilégiant le narratif de manière encore plus prononcé que le BRP. La gamme n’existe qu’en anglais, aucun éditeur français ne souhaitant se risquer à acheter les droits de traduction puisqu’ils sont double, d’une part ceux détenus par Chaosium et de l’autre par Arc Dream Publishing. N’espérez donc pas en profitez en français pour le moment. Il existe néanmoins un ouvrage qui s’intitule La Chute de Delta Green publié chez Studio Deadcrows, une traduction d’une campagne parue chez Pelgrane Press aux USA. Il couvre une période spécifique de la timeline de l’univers se situant dans les années 60/70.

Les arrivages de la fin du mois.

Ce n’est pas la première fois que je m’intéresse à du contemporain, lors du premier confinement avec ma team nous avions joué pendant un temps à L’Affaire Greenberg en Chroniques oubliées Contemporain, une campagne complétement folle, totalement lovecraftienne mais se déroulant en 2018, au moment où Trump devient président. Le pitch m’avait beaucoup attiré. Delta Green est exactement dans la même veine, ou est-ce l’inverse ? Peu importe. Ce qui compte c’est le fun quand on joue. Comme j’aime me faire une idée de ce qu’un système de jeu et un univers peuvent rendre, je me suis écouté une partie en 3 actes réalisée par une team très sympa, La JDR Accademy. J’ai beaucoup ri et adoré l’ambiance autour de la table. Je vous donne le lien du premier épisode, il y en a 3.

Sur ce mini bilan de mois, je vous souhaite un bon dimanche, plein de lecture et de repos. Moi je retourne à mes livres, mes revues, avec du bon métal en fond , et un café pas très loin. Évidemment.

Bonsai !

Toutes les images présentées dans cet article sont la propriété exclusive de leurs auteurs.

Jeu de Rôle : Manuel de l’investigateur -L’appel de Cthulhu (Edge Studio).

Bonjour à tous !

Chers lecteurs, et lectrices*, me voici tant bien que mal comme chaque semaine avec mon petit article, et il n’est pas évident de respecter les délais de parution – vaste sujet dans le monde de l’édition, c’est ce que nous allons voir. En effet, la OnosCorp ®© est dans la tourmente depuis plusieurs mois suite à une rupture de convergence d’intérêts entre ses actionnaires et une délocalisation s’impose dans des conditions assez complexes. Néanmoins, malgré la Covid, malgré les aléas personnels, malgré Jean-Michel Blanquer (parce que !), je ferai tout ce que y est en mon pouvoir pour essayer de concrétiser tous ces beaux projets annoncés lors de mon article de bonne année.

* Désolé je ne maîtrise pas du tout l’écriture inclusive, peu de chance que vous en voyez ici !

Afin de continuer dans la lignée de la semaine dernière, je vais à nouveau vous présenter un jeu de Rôle inspiré de l’univers d’un auteur, L’Appel de Cthulhu, de Lovecraft, publié chez Chaosium en anglais et depuis peu repris par Edge pour la localisation et la distribution en France, après des licences détenues par Descartes, puis les éditions Sans détour, dont la fin fut tragique. Cette présentation concerne la nouvelle édition de chez Edge qui m’a énormément séduite et dont je viens d’acquérir le Manuel de l’Investigateur. Il s’agit de la 7e version (V7) du jeu, ce qui en dit long sur sa longévité ! À chaque fois que je ferai un comparatif dans cet article entre l’édition d’Edge et la précédente, celle de Sans Détour, il s’agira uniquement de la V7.

Le jeu permet d’incarner des personnages à multiples époques, mais essentiellement dans les années 20, qui vont conduire des investigations aux frontières du réel, les menant sur les traces des créatures et autres mythes chers au maitre de Providence. C’est un jeu où la narration et l’ambiance sont les pierres angulaires de la partie, ainsi que la perspicacité des joueurs s’ils veulent éviter la folie ou une mort certaine lors de leur immersion dans les horreurs et les secrets anciens de notre monde.

Le manuel de l’investigateur

Il s’agit d’un manuel dédié aux joueurs. D’un format agréable et d’une taille accessible aux poignets fragiles – on est loin des pavés de certaines gammes – l’ouvrage est très bien conçu avec ces 286 pages. Voici le chapitrage :

Le chapitrage est clair, bien ordonné, on peut voir, après une section sur ce qu’est le jeu de rôle, incluant un exemple rédigé de comment se déroule une partie – section quasi commune à tout manuel de JDR aujourd’hui, ce qui a sans doute conduite à son renouveau flamboyant depuis quelques années, que le confinement est venu confirmer et amplifier – une nouvelle de Lovecraft afin de présenter l’univers de l’auteur : L’abomination de Dunwitch. Ce n’est pas ma préférée bien qu’elle soit bien représentative de son univers et bien écrite – ce qui n’est pas le cas de tout chez lui. Mais malheureusement celles que j’adore, comme Les Montagnes Hallucinées, sont trop longues pour ce type d’ouvrage. Quoiqu’il en soit, bien que je trouve l’idée intéressante, je me pose la question de ce type de contenu dans un ouvrage JDR surtout pour quelque chose d’aussi long. On aurait très bien pu renvoyer aux textes de l’auteur en donnant quelques références et ainsi libérer de l’espace dans la pagination pour d’autres choses.

Le cœur du livre concerne la création des investigateurs, c’est-à-dire l’avatar que vous allez incarner au cours de la partie. Pour le coup je suis extrêmement ravi par le contenu ainsi que la mise en forme. Là où l’édition de Sans Détour était sur 3 colonnes, avec des photos dont les droits ont parfois été bafoués, et aux goûts discutables, et dont la compréhension était alourdie par une écriture assez petite – peut-être afin de créer une impression élitiste de jeu compliqué comme ce fut le cas aux débuts du JDR – Edge favorise les illustrations qui permettent à l’imagination de s’emballer plus à mon sens, et une mise en page aérée et ultra accessible. Si de grands empans de texte sont identiques, la typographie, les tableaux, la tonalité visuelle avec son papier légèrement beige suggérant la couleur du papier du XXe siècle ou encore ses lignes de séparation ou en liseré parsemées de tentacules, ni trop gros, ni trop petit, affirmant l’ambiance, sont une réussite. Le produit est super bien pensé afin de faciliter la compréhension et la prise en main rapide y compris pour le novice.

Les doubles pages de chapitrages sont l’occasion d’une magnifique illustrations et d’un passage de Lovecraft.

Après la nouvelle du chapitre 2, les chapitres 3,4 et 5 se concentrent sur l’aspect technique du personnage et sa création : ses caractéristiques, son occupation – en quelque sorte son métier – et ses compétences. On retrouve cet aspect dans quasi tous les jeux de rôle. C’est dans cette partie que l’on va découvrir le système basé en fait sur des jets de pourcentage : votre compétence à une valeur sur 100 après achat de points que vous répartissez et, lors de vos jets, vous devez faire un score inférieur à cette valeur. Il peut y avoir différents types de réussites déterminées par votre résultat, ainsi plus votre score est proche de 1, plus vous avez de chance de faire une réussite critique, voire extrême.

Enfin le 6e chapitre nous présente quelques organisations dont les joueurs peuvent vouloir faire partie, ainsi que des fiches de personnages pré-tirés de membres pour chacune d’elles.

Au rang des chapitres qui m’ont énormément plu, ce sont essentiellement les 3 derniers :

  • 7 – Le quotidien des investigateurs
  • 8 – Les années folles aux États-Unis
  • 9 – Conseils aux Joueurs

Ces chapitres sont une mine d’or d’immersion et permettent aux futurs investigateurs de pouvoir appréhender au mieux l’univers, l’ambiance et le déroulement d’une partie. Il y a plein de bons conseils dans le 9e chapitre, y compris pour des rôlistes aguerris.

Enfin la dernière section avant le traditionnel index – pas toujours pratique et complet dans certains cas, mais ici je ne me prononcerai pas par manque de navigation – consiste en un recueils d’annexes que je trouve très pratique. Un tableau chronologique du xxe siècle afin de pouvoir camper son histoire à n’importe quelle période, ou encore des tableaux de rapports de distances de moyens de locomotions, jusqu’aux produits disponibles dans les années 20 ainsi que leur prix, la traditionnelle armurerie avec les statistiques des armes, leurs particularités. Enfin un guide de conversion avec les anciennes éditions, peu utile dans mon cas puisque je n’y ai jamais joué avant, et des cartes ! Ahhh… mon péché mignon en tant que fan d’histoire-géo.

Évidemment en toute fin de manuel, il y a la fiche de personnage à photocopier, même si pour ma part je préfère toujours récupérer le document numérique proposé sur les sites des éditeurs afin de l’imprimer.

Conclusion :

Un ouvrage de haute qualité qui m’a ravi sur tous ses points et qui dépasse de loin son prédécesseur de chez Sans Détour. Il faut savoir que ce n’était pas forcément gagné avec cet éditeur qui a connu des années plutôt compliquées, notamment au niveau des délais de parution mais aussi sur la qualité de certains ouvrages. Je me rappelle d’un manuel du Livre des 5 anneaux de la précédente version (la V4) que j’ai reçu, dont la couverture était mal collée et où la tranche des différents livres de la gamme étaient de hauteurs différentes. Mais depuis le rachat par Asmodée et sa fusion avec FFG afin de former Edge studio, la qualité est vraiment au rendez-vous, que ce soit tant au niveau des ouvrages que du rythme de parution et du suivi de gamme. L’équipe semble disposer de nouveaux moyens lui permettant de mener à bien ses projets ambitieux. Je ne vous ai présenté ici que le manuel de l’investigateur nécessaire pour tous joueurs. Si l’on choisit de maîtriser il vous faudra également investir dans le manuel du gardien. Plusieurs suppléments sont déjà parus et d’autres sont en cours de production, dont un qui a été annoncé récemment lors d’un live sur Rôliste TV : l’équipe proposera un cadre de jeux autour de la ville de Marseille, après celui sorti présentant Berlin. Il s’agit donc d’une création purement française ! Une gamme donc qui a un bel avenir en français et qui ravira tous les fans de cet univers horrifique.

Vous pouvez retrouver le manuel dans toutes bonne boutiques de JDR au prix assez intéressant de 39,95€, ainsi que le live de Rôliste TV .

Comme toujours merci de m’avoir lu, j’espère que cet article vous aura éclairé et plu, et que cela vous donnera envie d’incarner un des nombreux protagonistes chers à Lovecraft qui se retrouvent confrontés à l’indicible et à l’horreur cosmique. N’hésitez pas à m’en parler en commentaire.

Bonsai !

Ce qu’on en dit ailleurs : Albédo