Hello There !
Les vacances de Noël touchent à leur fin. De drôles de vacances, passées au mileu des malades qui toussent et reniflent. Des malades fiévreux. Des malades qui dorment. Bref des malades. Pour ma part, même si ces vacances ont été des vacances de malade en quelque sorte, puisque j’ai joué au garde-malade, j’ai eu un autre type de maladie : le syndrome Peter Pan version Light. Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est le fait de rester bloquer dans l’enfance, avec tous les comportements associés. Point de colère ou de frustration pour moi, sinon j’aurais passé mes vacances à hurler vu celles-ci, mais plutôt un état contemplatif et nostalgique d’une période bénie qui est omniprésente depuis quelques temps dans le paysage culturel : les années 80-90.
Qu’est-ce qui vous rend nostalgique ?
Question WordPress dans ma page d’accueil.
En ouvrant mon WordPress ce matin pour rédiger cette article, voilà la question que j’y ai trouvé. Comme une résonance. Et mon Noël a été d’une manière très nostalgique. Nintendo a toujours évoqué pour moi, la période bénie de mon enfance avec notre NES acheté à deux avec mon frère en économisant durement l’argent récolté aux anniversaires et à Noël, Zelda étant mon meilleur souvenir de jeu avec Lifeforce. Joueur PS et PC depuis plus de 20 ans, la Switch a fini par débarquer à la maison. Papa Noël m’a amené en complément deux jeux : Zelda : Breath of the Wild que j’ai trouvé magnifique et tellement apaisant, et Dragon Ball Z Kakarot, qui reste, là encore, un de mes mangas d’enfance préféré. Avec l’achat de la Switch Oled, la Fnac offrait Zelda Skyward HD et je n’ai pu résister à l’achat du légendaire Link’s Awakening remasterisé, jeu initialement sorti sur Gameboy en 1993. Me voilà donc paré pour de longues heures de retour en enfance !
Une photo de mes cadeaux :

Il y a eu des livres aussi, évidemment. Mes filles savent que je suis un grand fan d’Alan Rickman qui nous a malheureusement quitté trop tôt, et m’ont offert le magnifique Madly Deeply, paru récemment. J’ai hâte de me plonger dedans. J’ai eu également L’Affaire Charles Dexter Ward, mon deuxième texte préféré de Lovecraft, ce qui me permet de continuer tout doucement la somptueuse collection intégrale de Mnémos. Grand fan de cartes, le magnifique Atlas de la Terre du Milieu est enfin dans ma collection. Je regrette néanmoins qu’il faille de nos jours des sorties de séries pour voir ce genre de réédition (l’édition originale date de 1981). Le monde de l’édition ne fonctionne plus que comme ça. Une série arrive : « Vite rééditons ce livre dont elle est issue, ou connexe à l’univers ! » Ce côté mercantile culturel me lasse. Je comprends la nécessité de vivre, mais quand le gain devient supérieur à l’enrichissement culturel, il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark de l’Edition. J’imagine que nous, consommateurs, défaillons aussi quelque part. Toujours dans le côté Nostalgie, j’ai pu enfin me procurer le BluRay de Terminator 2, un de mes films cultes ! Je pense vous en parler prochainement dans un article dédié, parce que le cinéma c’est aussi de l’imaginaire, et que j’ai une vrai passion pour l’univers de Terminator, la première franchise SF à m’avoir vraiment fait peur.
J’avais aussi évoqué au début des vacances, que nous étions très Star Wars à Noël, mais l’essai Andor s’est révélé désastreux. Là encore, on rejoint le problème cité plus haut : la surenchère de produits sur une franchise qui marche. Je n’arrive pas à comprendre comment certains podcasts et autres youtubers ont réussi à me vendre ça. J’aurais dû rester sur ma première impression : cette série est inutile. Nous avons regardé les deux premiers épisodes : pas de rythme, le personnage principal est construit sur le schéma classique du flashback laissant planer un traumatisme de l’enfance, et surtout le début de l’intrigue ne repose que sur des jalousies de bas étage ! À la fin du deuxième, la question s’est posée : « On fait un troisième ? » L’avis a été unanime : NON ! J’ai entendu certains dire que c’était la meilleure série Star Wars avec son intrigue et sa photographie somptueuse… Mon dieu… Je suis désolé mais au bout de deux épisodes il n’y a rien de culte. Quand Le Seigneur des Anneaux est sorti, quand Star Wars est sorti (le premier qu’on a rebaptisé Un nouvel Espoir), quand Alien est sorti, quand Terminator 2 est sorti, quand Pulp Fiction est sorti, tous ces films, au bout d’une heure de visionnage, on savait que c’était culte. Après le premier épisode du Mandalorian, aussi. Ici, certainement pas.
Enfin au rang des bons visionnages des vacances, j’ai fini la première saison de Ash vs Evil Dead dispo sur Netflix. Réalisé et produit par Sam Raimi, c’est une suite à sa trilogie CULTE, elle, de Evil Dead, et le frisson est garanti ! J’ai A-DO-RÉ. Amateurs d’hémoglobine qui aimez les héros drôles et badass, foncez ! La série peut se regarder sans avoir vu les films, une astuce scénaristique résume le tout.
J’aurais encore plein de choses à vous dire, mais l’heure de la reprise a sonné ! On se retrouve très bientôt, en attendant, portez-vous bien !
I’ll be back.
Tu as été gâté!
Je vois que tu apprécie feu Alan Rickman. Nous nous rejoignons aussi sur ce point!
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Oui, j’ai toujours trouvé cet acteur très pro, et touchant. Il pouvait tout joué, du méchant charismatique dans Die Hard 1 à Rogue et toute sa complexité, en passant par l’homme qui a une double relation dans Love Actually. Un grand et j’ai hâte de lire ces anecdoctes croustillantes.
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